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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 09:32

 

 

 

Proverbe chinois : allumer une bougie, même petite, vaut mieux que de maudire l'obscurité.

 

 

LA PETITE BOUGIE

 

    Voici l'histoire d'une bougie très ordinaire, qui rêvait d'être éclairée et vivre sa vie de bougie, en se consumant lentement, doucement , en faisant vaciller sa flamme.

    Une lueur naîtrait alors, symbole  d"espoir, de liberté... C'était son plus beau rêve.

 

    Or, elle avait été mal façonnée. Trop de cire étouffait la mèche, elle ne pouvait rester éclairée plus de quelques secondes. Elle resta ainsi longtemps, tel un objet inutile. Elle se lamentait sur son propre sort. Elle enviait les autres, plus grandes, plus imposantes, plus belles et tellement vivantes...

 

    D'ailleurs, ses consoeurs la mirent très rapidement à l'écart. On la dédaigna. Elle était si malheureuse. A l'intérieur une petite mèche ne demandait qu'une étincelle pour devenir flamme...Mais c'était impossible.

 

    Un jour, elle entendit la voix d'un ange  qui lui murmura : "Je suis un nain venu de l'orient, et je pose ma couronne sur la table des grands... Ta richesse est inestimable, parce que tu es toi, impose toi, au lieu d'attendre que rien n'arrive"

 

    La petite bougie s'arma de courage et s'approcha des autres. Elle s'étira, s'étira encore,... Tant et si bien qu'elle se transforma en un cierge très fin et fragile. Au risque de se briser, et au prix d'un immense effort, elle s'inclina. Au contact d'une autre bougie, sa mèche s'enflamma, puis une flamme apparut, vacilla et se mit à danser.

 

    Même si elle fut l'admiration de ses semblables, elle su rester modeste.

 

    Elle vécut très heureuse, et devint l'emblème du respect et de l'espoir. Aujourd'hui encore, on raconte son histoire.

En souvenir, on créa des veilleuses (toutes petites bougies de cire, mais si grande dans la représentation)

 

 

                                                                                                                                             Valérie.F

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 04:21

 

UNE FEMME

 

Il était une fois,une femme parmi tant d'autres, qui chaque matin, partait dans le froid et la nuit vendre quelques heures de sa vie.

 

Elle était le premier maillon de la chaîne élémentaire de  l'hygiène. Elle savait que les vautours tournent et planent autour des personnes comme elle, pour trouver ne serait ce qu'une miette oubliée.

 

Durant quelques heures,elle traquait le moindre grain de poussière, c'était un travail pénible et peu enrichissant. Elle n'attendait pas de compliment,de toutes façons, on lui disait à peine bonjour. Elle savait que son travail terminé, elle retournerait dans la vie où elle serait une femme comme les autres. Mais avant, elle devait travailler et n'avoir pour toute récompense que mépris et humiliation...

 

Certes, d'autres avaient eu  plus de chance qu'elle, certains arrivaient à l'échelon supérieur par le biais des études, ou... Cela lui importait peu, elle était si fière de dire, "j'ai un travail" que le reste elle ne l'entendait plus.

 

Il y avait des jours, où elle se retrouvait dans des réunions, "toutes catégories confondues", on sentait une homogénéité. Les conviés formaient un mur, mais elle n'est jamais parvenue à s'y cimenter.

On lui rapellait sans cesse, qui elle était, ce qu'elle faisait...

Et pourtant, son labeur achevé, elle recommençait une autre vie, très riche et intense. Elle avait tant de choses à faire, elle avait perdu du temps mais elle avait gagné de l'argent.

 

A présent, sa vie a passé. Elle est arrivée à l'âge où l'on peut prendre le temps d'être soi-même. Mais plus personne ne s'intéresse à elle... Lorsqu'elle dit "je suis retraitée", on lui répond "vous l'avez bien mérité", en voyant ses mains usées et son dos tout cassé. Mais personne ne sait vraiment ce qu'elle a fait et enduré.

 

D'ailleurs, quelle importance, même si elle comprend la souffrance, et la détresse, elle a cessé de se battre depuis longtemps.

 

Elle sait que les plus à plaindre, sont ceux qui ne pensent qu'à paraître. Elle n'a rien à montrer, rien à prouver, sa richesse  est en elle et elle est inépuisable. Mais elle la protège : "les vautours planent partout et toujours"

 

Maintenant, elle s'en fout, elle a tant de choses à faire, et elle a toute sa vie pour les faire...

 

Cette femme, c'est ma mère.

 

                                                                                  Valérie.F

 

 


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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 12:42

LE PETIT GARCON QUI EST DEVENUE GRAND

Partie II

 

 

Les années ont passé... Le petit garçon est devenu un beau et brillant jeune homme et aujourd'hui, il a 20 ans...

"Joyeux anniversaire ARNAUD, Joyeux anniversaire. A toi maintenant,souffle..."

Mais ARNAUD est ailleurs, tous semblent un peu surpris. "Ou Ou ARANUD, Ou Ou" Il souffle enfin ses bougies. Et tout le monde l'applaudit : "Bravo"

"Oh non, pas ça, pense ARNAUD, ils me font la totale, je rêve"

Il y a ses parents, sa famille... Heureusement un peu de jeunesse, son frère et sa cousine, mais pas ses amis.

Pourtant, sa mère avait bien insisté sur ce fait, en lui proposant d'inviter quelques collègues. Son père s'est posé des questions, en se demandant si son fils n'était pas un sauvage, s'il n'avait pas d'amis... Sa mère fièrement l'a rassuré, "Tu sais, pour notre fils, la famille c'est sacré, il fêtera son anniversaire une autre fois avec ses amis..."

ARNAUD est à nouveau dans ses pensées. Et un sourire se dessine sur ses lèvres... Tous semblent heureux, et personne ne lui en veut.

Chacun sait que ARNAUD est une personne réservée et peu démonstrative. Mais il y a des signes qui ne trompent pas, comme ce sourire...

En réalité, ARNAUD pense à demain, à la super fête qu'il va faire avec ses potes. Heureusement qu'ils ne sont pas là aujourd'hui, la honte...

Son père lève son verre et le ramène à la réalité :"A tes 20 ans, tu es un homme à présent... Et j'aimerais bien que tu me secondes pour bricoler, et que tu soulages un peu ta mère, en l'aidant à la maison. Cette dernière regarde son fils d'un air mélancolique "20 ans déjà..."

Tous lèvent alors leur verre : "Un discours, un discours"

ARNAUD n'a pas le temps d'ouvrir la bouche, que son père se lance dans un grand monologue :

"Te rappelles tu tes 8 ans?, maintenant tu es adulte, tu peux faire ceci, cela, ce n'est pas un droit, mais un devoir... " Sa mère surenchérit "Comme ton père à ton âge, n'oublies pas que tu es l'aîné et que tu dois montrer l'exemple"

ARNAUD leur sourit "peuchère, ces vieux"... pense t il "Ils sont vraiment périmés... Moi, j'ai 20ans, et j'ai toute la vie devant moi, je veux en profiter et ne pas me prendre la tête"

Il regarde tour à tour ses parents, "je vous adore. Et une parole est une parole, aucun blempro, je tiens mes promesses, même si je les ai faite alors que j'avais huit ans..."

"A ces parents, se dit il, qu'est ce qu'il faut pas faire, moi en attendant, j'ai 20 ans et j'ai tout mon temps".

 

                                                                   VALERIE. F

 

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 12:22

LE PETIT GARCON QUI VOULAIT DEVENIR GRAND

Partie I

 

"Joyeux anniversaire ARNAUD, Joyeux anniversaire... A toi maintenant, souffle. Bravo..."

ARNAUD a soufflé ses huit bougies, en même temps, il regarde autour de lui, gonfle le torse, met sa tête bien droite et sourit.

Ses parents, son frère, sa famille, ses amis sont là... Il les regarde tour à tour. "Je suis un grand à présent.". Tous l'applaudissent

"Maman, si tu as besoin d'un coup de main, je suis là"

" Papa, tu peux compter sur ton coéquipier, si tu dois bricoler"

"J'ai enfin huit ans"

Sa maman le regarde d'un air mélancolique "Oui, huit ans déjà"  dit elle.

Mais ARNAUD ne l'écoute pas, il se lance dans un grand monologue... "A présent, je ferai ceci, je ferai cela, je savais déjà le faire, mais maintenant, j'ai le droit de faire tout ce que je veux, je suis grand"

Son père sourit et dit : " Oui, tu es grand, non tu ne pourras pas tout faire!...

Quel que soit ton âge, tu resteras toujours notre tout petit... Prends le temps d'être un enfant, ne pense pas à mesurer ta force et ton courage. Les années passent vite, elles s'en chargeront. Garde l'innocence de l'enfance le plus longtemps possible... Nous sommes fiers de toi, nous sommes heureux de te voir grandir, de te voir t'épanouir, de te voir rire, de te voir jouer, de te voir aimer l'école, de te voir vivre... Mais prends le temps, ne pense pas à  que tu seras demain, demain te paraît si loin, mais il est si proche en réalité. Joyeux anniversaire, mon bonhomme de huit ans." Et il lève son verre.

ARNAUD se précipite dans les bras de son père. "Je t'aime, Papa." Il tourne la tête "Toi aussi maman"

"Ah ces parents!..." pense t il, qu'est ce qu'il faut pas faire!...

Moi de toute façons, je sais que j'ai huit ans et que je suis grand.

 

                                                                                                                         VALERIE.F

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 17:32

 

AUTOPORTRAIT

 

 

Dans l'océan de la vie,
Où quiconque coule,
Elle flotte, c'est une boule.

Dans les manifs, les concerts,
Au milieu de la foule,
On ne voit qu'elle,
C'est une boule.

Si elle saute dans la rue,
Elle prend presque son envol,
Certains enfants,
S'écrient émerveillés,
Regardez, elle est gonflée.

Et d'autres en la voyant,
Se cachent en pleurant,
En disant c'est pas cool,
La boule.

C'est une boule rebondissante,
Qui a morflé de tous côtés,
Si elle reste charmante,
Elle est quand même bien abîmée.

Elle a des trous partout,
On s'en sert de passoire.
A la pétanque, on en fait des carreaux,
Si elle avait une bosse dans le dos,
On l'appellerait Quasimodo.

Avec sa petite tête,
Ses petites jambes,
C'est une boule anti-stress.

Elle est appréciée des garçons,
Qui la prennent pour un ballon,
Ils en jouent avec les pieds,
Peuchère, elle est massacrée.

Auprès des filles, c'est plus subtil,
Elles la prennent pour une bille.

Elle a aussi des avantages,
Sur la route dans les virages,
Ce n'est pas un gag,
Elle sert aussi d'airbag.

Elle est appréciée des marins,
Qui savent bien,
Que boule qui roule n'agace pas mousse.

Ce n'est pas une boulette,
Qui se prend la tête,
C'est en vérité une immense boule,
Avec un gigantesque capitale d'énergie,

Qui se prénomme Valérie,
Et comme le dit Prévert :
JE SUIS COMME JE SUIS...
                                                                       

                                                                                      VALERIE.F

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 17:51

 

LES INSEPARABLES

 

 

Amitié : Sentiment d'affection, de sympathie qu'une personne éprouve pour une autre. Ce lien est généralement réciproque...

 

 

J'ai pris une décision très difficile. Celle de mettre un terme, à plus de 25 ans d'amitié. Je sais que cette histoire ne fera pas un tabac, mais je souhaite partager ma triste expérience.

J'ai été bernée, durant de trop longues années... Je n'éprouve ni haine, ni colère. Même si je semble un peu dépitée, car elle a profité de ma naïveté, et que je n'y ai vu que du feu.

 

Nous nous sommes rencontrées dans une période sensible de ma vie, à l'adolescence, par le biais d'une connaissance commune.

Tout nous opposées : Elle était blonde et blanche, j'étais brune et mate, elle était zen, j'étais stressée. Bref, j'ai cru trouver en elle un équilibre. Elle était ma béquille, l'épaule sur laquelle je pouvais m'appuyer. Notre relation est très vite devenue fusionnelle. D'ailleurs, on nous avait baptisées les inséparables.

 

Dans mes périodes de doute, elle parvenait à me convaincre, que d'un simple clic, mes tracas pouvaient s'envoler en fumée. Dans les moments d'allégresse, elle était toujours de la partie, pour faire la fête.

 

Elle me semblait bienveillante et sincère. Et représentait tout pour moi : elle était ma mère, ma confidente, mon ange gardien... En trois mot ma meilleure amie.

 

Jusqu'au jour où je suis tombée follement amoureuse. L'élu de mon coeur la regardait d'un mauvais oeil. Il me répétait sans cesse, qu'il n'appréciait pas sa présence. «  Elle est néfaste, elle pollue notre atmosphère, elle pue... » disait il.

Mais il n'a jamais réussi à me convaincre, et a fini par accepté de vivre avec.

 

Pourtant, lorsque je suis devenue maman, j'avais mis notre relation entre parenthèse. J'étais même parvenue à vivre sans elle, à me détacher d'elle. Mais un jour de grande mélancolie, elle a frappé à ma porte. Et tout a recommencé comme avant.

 

Pour elle, j'ai dépensé sans compter. J'aurais été prête à tous les sacrifices. Je me suis même privée de petits et grands plaisirs, car elle restait ma priorité...

 

Mais depuis quelques jours, le doute s'est installé. J'avais besoin de l'éloigner, elle n'a eu de cesse de me harceler. Je lui ai fermé ma porte, mais je sentais sa présence invisible. Elle me hantait jusque dans mes rêves. Son odeur semblait imprégnée en moi.

 

Alors, j'ai pris une grande bouffée d'oxygène et mon courage à deux mains pour lui faire face, une dernière fois....

Je lui ai dit clairement, que les sentiments que j'éprouvais à son égard, s'étaient consumés, qu'elle me nuisait plus qu'elle m'apportait.

 

C'est alors que j'ai cédé à mes pulsions, je suis devenue incontrôlable... Lorsqu'elle m'a répondu, en me lançant un regard de braise : « Sache que comme le Phoenix, je renaît toujours de mes cendres, c'est ainsi. Tu ne te débarrasseras pas aussi facilement de moi »

Je l'ai jeté à terre. Je l'ai senti craquer sous mon pied, lorsque je l'ai écrasé en hurlant : « sors de ma vie maudite cigarette.

 

                                                                                                                                                            Valérie.F

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 09:05

LA VEILLE DE NOEL

 

    C'EST LA VEILLE DE NOEL. IL FAIT FROID MAIS BEAU. UNE JEUNE FEMME MARCHE D'UN PAS LENT ET MAL ASSURE, CAR LA CHAUSSEE EST GLISSANTE. ELLE VA FAIRE QUELQUES ACHATS AFIN DE TERMINER LES DERNIERS PREPARATIFS DU REVEILLON.


    TOUT EN AVANCANT, ELLE PENSE A CE JOUR DE FETE QUI APPROCHE. ELLE SE DIT QUE SON PLUS BEAU CADEAU SERAIT DE VOIR LA NEIGE CETTE NUIT OU DEMAIN... ELLE SOURIT, L'ESPOIR FAIT VIVRE, ET LES REVES TELLEMENT PLAISIR...


    DEVANT ELLE, IL Y A DES GENS,  QUELQUES METRES PLUS LOIN, UN CLOCHARD. Il FAIT LES CENT PAS POUR SE RECHAUFFER. MAIS SOUDAIN, IL GILISSE ET TOMBE.


    LES GENS PASSENT PRES DE LUI ET FONT UN ECART POUR L'ÉVITER, ET CONTINUENT LEUR CHEMIN, COMME S'IL N'EXISTAIT PAS.

    IL FAUT DIRE QU'IL EST ASSEZ REPOUSSANT, UNE FORTE ODEUR NOSEABONDE EMANE DE SES VETEMENTS. LORSQU'À SON TOUR, LA JEUNE FEMME PASSE PRES DE LUI, ELLE FAIT AUSSI UN ECART, ELLE NON PLUS N'A RIEN VU...


    MAIS PLUS ELLE S'ÉLOIGNE, PLUS UN SENTIMENT DE CULPABILITE L'ENVAHIT. ELLE REVIENT SUR SES PAS, S'APPROCHE DE L'HOMME QUI GIT A TERRE. ELLE A UN HAUT LE COEUR EN LE VOYANT. IL A DES CHEVEUX GRAS, UN TEINT BLAFARD, LES YEUX EXORBITES, LA BOUCHE EDENTEE. ET CETTE ODEUR!... ELLE VOUDRAIT PARTIR EN COURANT, POURTANT, ELLE RESTE LA, DEVANT LUI, FIGEE.


    L'HOMME LA REGARDE, SES YEUX SEMBLENT LUI DIRE "TU VOIS, JE SUIS UN HOMME MALGRE TOUT. MEME SI MON ASPECT NE ME DONNE PLUS LE PRIVILEGE D'ÊTRE CONSIDERE, ACCEPTE, RESPECTE, COMME TEL..."


    ELLE LUI TEND LA MAIN ET L'AIDE A SE RELEVER.


- VOUS ALLEZ BIEN? MONSIEUR?

- VOUS AVEZ DIT MONSIEUR? MERCI,  OUI CA VA MAINTENANT...


    ELLE GARDE SA MAIN DANS LA SIENNE, ELLE EST SI FROIDE, ET N'ARRIVE PAS A DETACHER SON REGARD DU SIEN... IL A QUELQUE CHOSE DE TROUBLANT. ELLE SAIT DESORMAIS QU'ELLE N'OUBLIERA JAMAIS CET INSTANT, NI CE MERCI QUI SONNE DANS SA TETE COMME UNE MELODIE...


    "JE DOIS PARTIR A PRESENT, MONSIEUR, JE VOUS LAISSE MA PAIRE DE GANTS, VOS MAINS SONT SI FROIDES!..."


    "GARDEZ LES, MADEMOISELLE, VOTRE CHALEUR HUMAINE A RECHAUFFAIT MON ETRE..."


    LA JEUNE FEMME  CONTINUE SA ROUTE D'UN PAS LENT ET PEU ASSURE... SOUDAIN, UN FLOCON, ELLE LEVE LES YEUX VERS LE CIEL ET SOURIT... ELLE SE RETOURNE. L'HOMME A DISPARU COMME PAR ENCHANTEMENT.

    UNE LEGERE BRISE LUI SUSSSURE A L'OREILLE "POUR TE REMERCIER, JE REALISE TON REVE...JOYEUX NOEL."

 

 

                                                                                                                                    VALERIE.F

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 11:18

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le corps est le reflet de l'âme.

Les cicatrices sont les marques laissées durant son combat de la vie...

Mais les plaies se referment.

Si l'âme trouve enfin le chemin qui conduit vers la lumière.

C'est le chemin de la vérité, de notre vérité...

 

 

 

Valérie.F

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